Bien se nourrir
L’idéal est d’avoir une alimentation équilibrée et à horaires fixes.
Les graisses d’origine végétales, le poisson, les aliments riches en fibres, les légumes, les sucres lents doivent être privilégiés. Les graisses animales (charcuterie, viandes grasses), les sucreries et les sodas seront évités au profit des légumes et des fruits frais. Pour certains, cela peut occasionner des changements alimentaires !
Des consultations diététiques peuvent alors vous aider.
Elles vous aideront à corriger les anomalies par un accompagnement adapté à votre rythme de vie, et personnalisé à vos goûts. À l’hôpital, ces consultations vous sont proposées dans le cadre d’une bonne prise en charge thérapeutique et ne vous seront pas facturées. Ceci est différent en ville où ces consultations ne sont pas gratuites.
Votre médecin traitant peut aussi vous orienter vers un médecin nutritionniste.
Il s’agit bien, comme nous l’avons dit, d’un idéal, car nous savons que certaines contraintes professionnelles, financières, familiales, sont souvent un frein au bon équilibre alimentaire.
Cela ne veut pas dire non plus qu’il faut dire adieu aux bonnes tablées entre amis ou en famille. D’abord, elles sont plutôt bonnes pour le moral et dans le cas qui nous intéresse, le moral, c’est le plus important !
En résumé, faire attention à ce que l’on mange reste une des clés pour mieux supporter son traitement ! Mais il faut surtout tâcher, autant que possible, de ne pas trop décaler ses horaires (y compris le week-end) et éviter à tout prix de sauter un repas, même si l’on a pas faim.